La piste arabe fait ses débuts dans le championnat du monde et un super travail de nuit est annoncé pour les ingénieurs pour corréler les données réelles des premiers essais libres avec celles des simulations
La piste de Djeddah est destinée à surprendre les coureurs, non seulement parce que les simulations étaient basées uniquement sur des données théoriques en ce qui concerne la configuration aérodynamique, mais aussi et surtout parce que le niveau d’adhérence du circuit représente la plus grande inconnue et en constante évolution. . Il est important de souligner que les meilleures équipes et dans ce cas Red Bull et McLaren prendront la piste lors de la première session avec deux configurations aérodynamiques différentes lors d’un test comparatif.
Nuit de travail
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Tout aussi intéressant est le fait qu’après la deuxième séance d’essais libres, toutes les données collectées seront soigneusement analysées et incluses dans les simulations, qui se dérouleront dans les usines pendant la nuit, produisant ainsi les combinaisons de réglages qui seront ensuite sera délibérée lors de la troisième séance prévue pour demain après-midi. Ce sont donc des sessions très fondamentales en termes d’apprentissage non seulement par les conducteurs, mais aussi et surtout par les ingénieurs véhicules (responsables de la dynamique du véhicule).
Facteur de pneu
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Cela a une pertinence encore plus grande pour Red Bull et Mercedes, qui se battent pour le titre. En effet, deviner la meilleure combinaison entre réglage dynamique et aérodynamique constituera un avantage concurrentiel très décisif. Ceci avant tout comme une clé pour comprendre le bon usage des pneus. En pratique, le bon équilibrage des monoplaces, en plus de maximiser leurs performances, permettra également une meilleure gestion des pneumatiques, ce qui est crucial à un niveau stratégique.