En cette période de vacances, nombreux sont ceux qui sont confrontés au dilemme de savoir comment réussir à ne pas prendre trop de kilos sans vouloir renoncer aux plaisirs culinaires de la tradition de Noël. Voyons ensemble quelques précautions simples pour profiter sereinement des moments conviviaux qui nous attendent.
Comment ne pas abuser de la nourriture pendant la saison de Noël? Il n’est pas nécessaire de suivre des règles rigides et rigides, mais il existe certainement plus que quelques conseils valables et exploitables sans trop de difficulté.
On ne change pas trop les choix alimentaires et les habitudes, on laisse place à la modération. Dès les premiers jours de décembre, panettone, nougat, chocolats, fruits secs et bien d’autres douceurs typiques commencent à faire leur apparition dans les rayons des supermarchés. Ce sont des aliments riches en calories, riches en sucres que nous n’avons généralement pas dans le garde-manger. Comme souvent, leur utilisation, plutôt qu’occasionnelle, peut devenir quotidienne. Le conseil est de sélectionner les produits qui nous plaisent le plus et de les acheter dans des tailles plus petites, de cette façon on évite d’en abuser tous les jours de peur qu’ils ne se détériorent. Comme le dit ma femme : ce n’est pas le seau d’eau qui fait le trou dans la pierre mais la goutte qui tombe à plusieurs reprises chaque jour.
Nous ne pouvons pas célébrer pendant un mois entier. La première chose à faire est de définir combien de temps dure cette période de festivités gourmandes, sinon vous pouvez continuer pendant des semaines sans avoir la moindre idée des calories consommées ! En moyenne, il y a 5 ou 6 occasions de faire la fête avec des déjeuners et dîners plus abondants que d’habitude : dîner du réveillon de Noël, déjeuner de Noël, déjeuner du Boxing Day, dîner de la Saint Sylvestre, déjeuner du 1er janvier et déjeuner du jour de l’Épiphanie. . Le conseil est de voir ces récidives « uniquement comme un repas » différent de l’habituel, certes plus abondant et calorique, mais ce n’est encore qu’un repas. Ceci dans l’optique de reprendre de saines habitudes alimentaires dans les jours qui suivent. D’un autre côté, il est faux de s’engager dans des attitudes compensatoires, comme sauter des repas ou ne manger que des salades.
Le bon sens à table, entre choix et portions. Si les plats sont nombreux et que vous voulez goûter un peu à tout, le conseil est de faire des portions plus petites, peut-être en utilisant une assiette plus petite. Par exemple, évitez d’exagérer l’apéritif et le pain. Il est utile de manger lentement, de cette façon le processus de digestion est facilité et il est également plus facile de comprendre si vous êtes rassasié ou non. Apprendre à s’écouter évite d’arriver à la fin d’un repas avec cette fâcheuse sensation de satiété. Il n’est pas nécessaire de tout finir dans l’assiette, ou plutôt, aussi pour éviter le gaspillage, il n’est pas nécessaire d’avoir à goûter tout ce qui est inclus dans le menu, vous pouvez choisir quoi manger, en fonction de nos préférences !
Manipuler les bonbons et l’alcool. A la fin du repas, il est de tradition de dresser les tables avec des douceurs typiques. Si le repas a été particulièrement copieux et que vous vous sentez rassasié, il n’est pas obligatoire d’ajouter également un dessert. Le conseil est de le garder de côté et de le consommer à un autre moment, par exemple au petit-déjeuner le lendemain ou au goûter. Attention : pas avant des semaines, jusqu’à ce que nous nous débarrassions de tout le panettone ! Petite observation sur les bulles, les occasions de trinquer sont nombreuses ! Compte tenu de la valeur calorique élevée des boissons alcoolisées, le conseil est de privilégier l’eau pendant les repas, en prévision du toast final.
Reste actif. Comme dans la vie de tous les jours, il vaut mieux ne pas s’allonger sur le canapé immédiatement après avoir mangé. On profite des jours de vacances et du temps libre pour faire de belles balades entre amis et proches. Cela ne veut pas dire que l’on sort en courant pour se débarrasser des excès alimentaires, rappelons-nous que les attitudes compensatoires n’aident pas à bien vivre.
Bref, rappelons-nous qu’on ne grossit pas entre Noël et le jour de l’an, mais entre le jour de l’an et Noël !
Bonnes vacances à tous !