Un sprint plein d’émotions sans retenue entre Leclerc et Verstappen. Le Néerlandais remédie au départ lent : « Mauvais coup, il faut comprendre pourquoi ». Leclerc pénalisé par le grainage : « Il faut régler le problème à l’avant gauche ». Satisfaction pour Sainz : « Ça n’aurait pas pu être mieux »
Ce fut une course Sprint sans retenue dès le départ, Charles Leclerc savourant la première place après un super sprint mais contraint de se rendre à un Verstappen qui gérait le mieux les pneus. Le Néerlandais commente sa course sur Sky Sport : « Mauvais départ, je ne sais pas ce qui s’est passé – l’autocritique du champion du monde -. Il a fallu du temps pour mettre la pression sur Leclerc mais au final on a réussi à ce que les pneus soient mieux et je suis entré dans la zone des Drs. Demain ce sera différent parce que nous utiliserons des pneus différents mais nous partirons de la première boîte de toute façon « . (Ici les horaires et où voir la course)
Leclerc et le grainage
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La Ferrari monégasque a montré qu’il était en forme avant de céder à Verstappen à un tour de l’arrivée. Un bon essai qui laisse cependant un goût un peu amer dans la bouche : « On a eu du mal avec les pneus, notamment pour le grainage à l’avant droit, il faut comprendre pourquoi, ce n’était pas prévu – commentaire torride de Leclerc -. J’ai aurait préféré rester devant mais demain on se rattrapera ». Enfin, un mot aux fans qui sont venus en nombre et espéraient un beau résultat en course : « Ils sont incroyables, fous de voir tout ce monde dans les tribunes. »
Sainz et le super retour
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La star de la course était certainement Carlos Sainz, qui est passé de la dixième à la quatrième place après l’arrêt d’hier qui l’a exclu de la Q3. « Je n’aurais pas pu faire mieux, aujourd’hui une belle rentrée – a déclaré satisfait l’Espagnol qui est passé à la deuxième place du classement des pilotes -. L’important demain, c’est d’être à 2 contre 2. Red Bull a moins de dégradation des pneus mais on va inventer quelque chose. de me battre sur un pied d’égalité. Ces monoplaces facilitent les dépassements, je me sentais à l’aise et j’apprends à piloter de mieux en mieux » Le numéro 55 de Ferrari était une course solide, qui prône pourtant le calme surtout pour le grainage qui a conditionné le performance de l’équipe coéquipière : « Il faut régler le problème des pneus, Red Bull s’en sort mieux. »