Ils sont désormais « viraux » dans le monde pro. Ils divertissent et accumulent des adeptes, sur les réseaux sociaux et dans la vraie vie. Ils intriguent, fascinent. Ils déçoivent aussi, parfois, mais on peut leur pardonner quelque chose…
Les Indiana Pacers sont pressés. Ils courent vite, très vite. Sur le parquet, pour gagner des matchs. En groupe de travail, pour rattraper le temps perdu récemment. Rythme effréné, rythme à fond, beaucoup de points marqués. Bien sûr, il y a le risque de déraper, de sortir de la route, avec le rapport haut toujours engagé, sans jamais décélérer. On retrouve de la clarté, comme les points encaissés et la régularité des performances. Mais les Pacers sont « viraux » dans le monde NBA. Ils divertissent et accumulent des adeptes, sur les réseaux sociaux et dans la vraie vie. Ils intriguent, fascinent. Ils déçoivent même parfois. Mais tomber amoureux, c’est après tout comme ça : des hauts et des bas, des espoirs, des illusions et des déceptions. Et Indiana, avec son style de jeu et son brillant début de saison, en a fait tomber beaucoup de monde.