Un Cavallino en si bon état ne s’était pas vu depuis 2017 et 2018 même si les tests sont toujours à faire avec les ressorts. Red Bull n’a pas montré son vrai potentiel, Mercedes n’a pas brillé mais se cache
Donner des votes à la veille du championnat est un exercice terriblement difficile car dans les essais le premier objectif est de comprendre les voitures (surtout si, comme cette année, elles sont issues d’un tout nouveau projet) et le second n’est pas de s’alarmer les rivaux. Mais il ne fait aucun doute qu’une Ferrari aussi en forme n’avait pas été vue depuis 2017 et 2018. Dans les deux cas, Sebastian Vettel, qui était le meilleur pilote, a remporté le GP d’Australie, puis la course inaugurale de la saison, et a conservé sous pression pendant une grande partie de la saison Lewis Hamilton saison puis champion du monde. Maintenant, la même chose peut arriver avec Charles Leclerc et Carlos Sainz contre Max Verstappen et (peut-être) Lewis lui-même.