2022 a apporté à Charles trois victoires mais aussi de nombreuses courses dans lesquelles il a payé cher les erreurs de Ferrari. Après 2024, qu’y a-t-il ? La Mercedes le courtise…
La dernière course de la saison de F1 a ramené le sourire qui lui manquait depuis un moment. C’est comme si Charles Leclerc avait levé un poids, accomplissant la mission de conquérir au moins la deuxième place du championnat, arrachée à Sergio Perez avec le sprint palpitant d’Abu Dhabi. Pour le pilote Ferrari, c’était une question de fierté. Jusqu’à l’été, il s’était battu pour le titre contre Max Verstappen, avant que Red Bull ne décolle, alors il estimait qu’il méritait la place d’honneur au Championnat du monde. Pour autant, le doux dénouement n’a pas effacé les nombreuses amertumes du Monégasque, qui a défini 2022 comme une année « de hauts et de bas comme sur des montagnes russes », malgré trois victoires et neuf pole positions.