Le septuple champion du monde a posté une vidéo sur les réseaux sociaux dans laquelle il apparaît au volant d’une Skyline. Son comportement au volant a incité le loueur de voitures qui lui a fourni le véhicule à prendre ses distances : « Vidéo tournée sans notre autorisation »
Pour Lewis Hamilton, ce n’est pas une année 2022 exceptionnelle. Les problèmes de Mercedes en F1 n’ont pas suffi, avec une première saison sans victoire. Cette fois, les problèmes viennent du Japon, en raison d’une vidéo que le septuple champion du monde a postée sur ses profils sociaux. Le clip montre Hamilton dévalant la rue dans une Nissan Skyline R34 de 1998, puis effectuant une série d’épuisements dans un parking. De quoi susciter la polémique autour du champion, tant au niveau du comportement que de la voiture utilisée.
la rapidité
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Le premier nœud concerne les limitations de vitesse au Japon. Dans un instantané de la vidéo, le compteur de vitesse de la supercar semble indiquer 160 km/h alors que la Nissan se déplace le long de l’autoroute de Tokyo, à 60 km/h au-dessus de la limite. En fait, les autoroutes japonaises autorisent des vitesses ne dépassant pas 100 km/h, tandis que sur les routes secondaires, la vitesse maximale est de 60 km/h. Comme si cela ne suffisait pas, voici les manœuvres de la roue fumante dans un parking désert. Une autre infraction, qui a suscité plus d’une critique sur les réseaux sociaux.
mécontent
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Le deuxième problème pour Lewis concerne la voiture. Sa Nissan Skyline, modèle connu pour apparaître dans le film Le rapide et le furieux: Tokyo Drift, a été fourni par Omoshiro Rent-a-car, une société de location de voitures qui a critiqué le comportement de Hamilton via Twitter : « La vidéo n’a pas été filmée avec notre permission. Cette façon de conduire est strictement interdite. » Désormais, Lewis risque de devoir verser une indemnité très élevée à l’entreprise qui lui a fourni le véhicule.