L’ancien champion du monde, qui a contracté le coronavirus, ne peut entrer en contact direct avec son monde, obligé de commenter les GP à distance
On peut être champion du monde mais toujours tenu à l’écart des portes du paddock : c’est l’une des conséquences négatives de la pandémie que vit Nico Rosberg sur sa peau. Le champion du monde 2016 était par exemple à Monte-Carlo mais ne pouvait se déplacer que sur la jetée. La raison? Il ne s’est pas vacciné contre le Covid 19. Mais le pilote allemand a une raison : il a contracté la maladie, il s’est rétabli et selon son médecin il n’aurait pas besoin du vaccin. Mais les règles d’entrée dans le paddock s’appliquent aussi à ceux qui, comme Rosberg, ont écrit des pages importantes de l’histoire de la F1 : soit vous êtes totalement vacciné, soit vous avez une dérogation médicale, sinon vous ne vous approchez pas des boxes et des camping-cars. « Nico Rosberg est guéri d’une infection à coronavirus et détient actuellement un certificat de guérison. Il fait tester ses taux d’anticorps régulièrement et, sur recommandation de son médecin, n’a actuellement besoin d’aucune vaccination », a expliqué la porte-parole de Rosberg, Lena Siep, par e-mail. « De plus, il continue de respecter toutes les mesures d’hygiène et de précaution nécessaires. Il respecte les règles de la F1 et continue d’exercer ses fonctions de commentateur (pour British Sky ; ndlr). Rosberg a travaillé jusqu’à présent à distance et depuis le Quai de la Principauté où habite.