L’ancien pilote de Maranello a tout pour plaire : « Je ne connais pas Vasseur : il était bon avec Alfa, mais le Cheval cabré, c’est autre chose. Hamilton est un pilote de haut niveau, mais je ne l’aime pas comme personnage. Verstappen ? mieux si vous devez freiner un mètre plus loin »
Il y a quelque chose pour chacun. Depuis Paris, où il passe les vacances, René Arnoux n’est pas d’humeur à faire des cadeaux. Ni de rabais. Alors alé, commençons par revenir un instant sur 2022, avec une prémisse : que lorsque le sujet est Ferrari, René parle à la première personne du pluriel. Il se sent toujours impliqué. C’est comme s’il était toujours à Maranello. Nous partons de cette hypothèse et d’une question sur ce qu’il aimait. Et il. « Ce que j’étais désolé, tu veux dire. J’étais plutôt triste de voir une Ferrari très compétitive laisser filer le championnat. Parce qu’on a bien commencé. C’est vrai qu’il n’y avait pas de fiabilité, mais on a perdu des grands prix presque comme si on l’avait fait exprès. Pour le reste, Verstappen a arrangé les choses… »