Pour Cavallino un très bon début de championnat du monde puis plusieurs problèmes de fiabilité et la lutte pour le championnat du monde s’est compliquée. Il reste désormais 4 courses avant la pause et il est impératif d’inverser la tendance
Le début du mois de juillet s’annonce chaud pour la météo. Mais aussi pour Ferrari. L’enthousiasme débridé et les certitudes du début de saison, qui avaient déchaîné les supporters de Cavallino, ont laissé place à une pointe de déception qui ne doit cependant pas éteindre les espoirs. Il y a un mois, celui de juillet, qui, à partir de Silverstone, propose quatre médecins généralistes pour redresser la situation. Pourvu que les problèmes de fiabilité deviennent un souvenir : les KO de Leclerc à Montmeló et Bakou (dans les deux cas quand il était en tête, un détail non négligeable) étaient très lourds, et des titres comme ça ne se gagnent pas. Le rouge cette année a commencé très fort, mais n’a pas suivi, alors qu’au contraire, dans une Coupe du monde, la régularité est essentielle. Et donc maintenant il ne suffit plus de « s’accrocher au match », pour reprendre une métaphore du tennis, il faut autre chose.